Le quartier de Sultanameth, est le centre historique d’Istanbul, là où se trouve les grands monuments, Sainte Sophie, la mosquée bleue, le palais de Topkapi, les musées…
Le petit bazar des tapis « l’Arasta Bazar » dont les boutiques occupent d’anciennes écuries et les magasins de faïence et d’objets touristiques, où l’on trouve quand même de jolies choses voisinent avec les hôtels de charme et leur façade de bois
Partout des talismans en forme d’œil en verre peint de toutes les tailles et à tous les prix
Dans les petits restaurants, la cuisine savoureuse est copieuse en produits frais pour des prix modiques
Les tables sont décorées de carreaux de céramique peints et vernissés
Les vieilles maisons en bois aux balcons ouvragés disparaissent au profit d’immeubles banals mais avec confort moderne
Au détour d’une rue, en levant le nez, d’agréables surprises s’offrent encore à la curiosité
Sur les abords de la grande avenue piétonne de Taksim, des petites ruelles encore champêtres
La croisière sur le Bosphore et la Corne d’Or est un passage obligé pour le touriste qui se respecte !
C’est la meilleure manière de se rendre compte de la position stratégique de la ville, position qui lui a valu sa richesse et ses guerres de conquête
Installé sur un promontoire sur les deux rives du Bosphore, Byzance, puis Constantinople et enfin Istanbul contrôlait le commerce terrestre et maritime aux confins de l’Europe et de l’Asie
Les repas copieux, et servis généralement avec beaucoup d’amabilité, se souviennent que la Turquie est un grand producteur d’huile d’olive, et très généreusement nous en font profiter !
Heureusement que les calories sont nécessaires au touriste marcheur !
Les musées ayant épuisé avec bonheur notre temps de séjour, il ne me reste que quelques impressions très légères de la vie quotidienne à Istanbul, qui s’entassent pêle-mêle dans mes souvenirs, mais dont la réminiscence est délicieuse
Les Stambouliotes aiment les chats, ils sont très présents dans la ville, jetant toutefois leur dévolu chez les marchands de tapis, dont ils gardent imperturbables, la marchandise
On en trouve partout près des restaurants et j’ai même vu dans Sainte Sophie un gros matou qui se prenait pour le maître des clés !
Il reste juste un peu de temps pour acheter les loukoums à la pistache chez Haci Bekir et les baklavas chez Saray Muhallebicileri, adresses données par un connaisseur( pas de photos, ils ont été très vite appréciés !) Reste le verre de jus de grenade pour se rafraîchir dans la rue
Un peu de broderie sur toile et sur…papier !
Je termine par la suprême élégance, la calligraphie et le tugra du plus célèbre sultan, Soliman dit le Magnifique.
nous rentrons d’Istanbul, j’en profite pour revisiter vos reportages !
Nos photos sont en cours de tri, malheureusement deux jours de pluie sur 7 donc des résultats médiocres pour certains sujets. Contrepartie non négligeable, pas trop de monde dans les files d’attente.
Ah ! Quelle chance, Manuela, malgré la pluie d’être allé visiter cette ville passionnante !
J’avais en parcourant le centre historique la tête pleine de récits antiques…Mettre ses pas dans la poussière de l’histoire encore si palpable a été passionnant et émouvant
Istanbul byzantine ou ottomane, l’européenne ou l’asiatique ? Le cœur balance …
Depuis, j’écoute de la musique turque instrumentale classique sans me lasser ! Peut-être connaissez vous un merveilleux disque de Jordi Savall « Istanbul – Le livre de la science de la musique » ? C’est une musique bien propre à amener les rêves et à plonger dans une nostalgie délicieuse
Il faisait beau pour nous en cette fin de ramadan, mais j’ai perdu beaucoup de photos hélas